L'abondance des graisses et l'envie de dormir durent tant que le pétrole coule dans les chaumières.
Les rustres s'étant jetés sur tous les os de la création, ayant léché toutes les vitrines et saisi toutes les occasions d'enfler se trouveront dépourvus quand la bise sera venue... n'ayant d'autre famille que des écrans de fumée, d'autres distractions que les pirouettes des avions, les chansons et les culs tournant en boucle, d'autre mémoire qu'en tutu, d'autre avenir qu'en sueur et huile de coude pour faire pousser des radis.
Comme dirait le facteur: "Ce qu'il faut , c'est une bonne révolution à l'ancienne..." cet imbécile n'ayant pas vu grand chose car ignorant que les poupées gonflables ne voient jamais le loup et que si l'on reprend la Bastille, ce sera sur un plateau de tournage. Couper des têtes? Distribuer quelques pois-chiches?... Il faudrait surtout du nouveau, un peu de cannibalisme, quelques bouc-émissaires de qualité, quelques têtes rasée, des institutrices déchaînées défilant chez Dior, des descendants d'esclaves et de maîtres lâchés affamés dans l'arène sanglante, des couches-culottes tricolores à l'Académie et mille mesures vexatoires pour finir la boucle, baisser indéfiniment les yeux et péter sous le manteau...
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